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La Fédération Française du Bâtiment est une organisation professionnelle qui a pour but de représenter et défendre les entreprises de bâtimentauprès des pouvoirs publics, des décideurs économiques et des autres acteurs de la construction.
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« Mon métier, c’est tout ce qui touche au métal: structures métalliques, métallerie, ferronnerie.
Il y a une histoire entre le métal et la personne qui crée de ses mains. On part en général d’une barre droite et on fait un ouvrage, une porte, un portail, des volutes… Même si c’est pour quelqu’un d’autre, c’est quelque chose qui sort de notre imaginaire.
C’est nous qui donnons un peu de notre âme pour faire l’ouvrage. C’est la main qui fait tout, en fait. Je ne peux pas trouver cet esprit-là ailleurs… »
« J’ai 22 ans. Je suis patron d’une entreprise d’électricité et d’énergie renouvelable. Et j’ai deux salariés.
Je pense qu’à trois, c’est une complicité et si l’on veut évoluer dans l’entreprise, c’est comme ça que ça marche ! Energies renouvelables, on est en plein boum actuellement. C’est un secteur qui se développe en permanence. Ça marche très très bien, sans aucun problème.
Je travaille tout en protégeant l’environnement. C’est vraiment génial ! »
« J’ai un parcours assez atypique. J’ai 13 ans de modéliste-styliste et 15 ans dans le médicosocial.
J’ai écouté mon cœur qui m’a dirigé vers le métier de grutière et c’est un vrai bonheur de travailler dans cette grue, un bonheur de la conduire, un bonheur d’être avec ces hommes parce que très reconnaissants et très respectueux. Je me sens privilégiée d’être à 50 mètres ou 60 mètres.
Quelque part, j’ai l’impression que le monde m’appartient. C’est toujours la même pensée : fière ! »
« Toute petite, à partir de 4 – 5 ans, je pense, j’allais sur les chantiers avec mon père.
Juste avant de passer mon bac, je me suis dit : « Le Bâtiment, c’est fait pour moi ! ». Quand on passe devant un chantier ou un immeuble on dit : « Regarde, c’est moi qui l’ai fait ! » Et c’est super agréable.
Dans 3 ou 4 ans, je serai chef d’entreprise. Par rapport à mon père, j’ai envie de lui montrer que ce qu’il a créé, je peux continuer à le faire vivre. C’est un défi que je me lance ! »
« Moi, je suis entré dans le bâtiment par hasard.
Après la 3ème, on m’a dit qu’il fallait que je fasse un BEP. De fil en aiguille, j’ai vraiment aimé ce métier… J’ai fait BAC + 5… Je suis ingénieur de travaux. En fait on est une sorte de pierre angulaire entre différents intervenants, du compagnon à l’architecte. On a rapidement des responsabilités importantes. Le salaire est bon. J’ai vraiment tout pour travailler dans de bonnes conditions.
Maintenant, ce qui m’intéresse, c’est vraiment l’avenir, de gérer moi-même un chantier. »
« J’ai très vite aimé le métier d’électricien. J’ai pris la direction de l’entreprise à 24 ans.
J’aime l’ambiance sur les chantiers. Parce qu’il y a la rencontre avec les autres, de la convivialité. C’est de la rigueur, du travail et, bien sûr, l’esprit d’équipe.
Dans une de mes passions, qui est le football, c’est la même chose. C’est un groupe d’hommes ! Le métier de dirigeant, c’est un des plus beaux métiers, pour moi. »
« Faire travailler des gens ensemble, c’est sans doute ce qu’il y a de plus beau.
La réussite, ce n’est pas la réussite du patron, c’est la réussite de tous. Il m’arrive souvent d’aller sur les chantiers et de voir dans les yeux de mes ouvriers cette volonté qu’ils ont de réussir à bien faire. Cette fierté, elle existe en chacun d’entre nous.
Manager, c’est une profession qui demande d’avoir une expérience très forte. C’est un escalier qu’on monte marche par marche. C’est un métier fort ! »
« Je pense que je fais le plus beau métier du monde. Quelque part, grâce à moi, des monuments de France sont sauvegardés.
Une charpente, c’est un puzzle. Vous créez ce puzzle et après vous partez en déplacement et vous le montez. Le chantier, c’est une famille. Tout le monde doit travailler ensemble, main dans la main, et surtout bien soudés.
C’est vraiment agréable de transmettre à des jeunes notre savoir-faire. C’est indispensable. C’est l’avenir, pour moi, les jeunes ! »
« Quand je dis que je suis carreleuse, la première réaction, c’est la surprise.
J’ai fait 5 années de droit, je m’apprêtais à devenir juge et puis, finalement, ce côté manuel, artistique, il a fini par prendre le dessus. Sur le chantier, ça se passe super bien. Je côtoie vraiment tous les corps de métiers du Bâtiment. C’est toujours des coups de main. C’est vraiment sympa ! Ma prochaine grande étape, c’est de créer ma propre entreprise. En carrelage et mosaïque, il y a énormément de choses à faire ! Si on y croit, ça marche ! »
« Mon grand père était déjà maçon comme mon père l’était et je le suis également.
La touche personnelle que j’ai amenée dans l’entreprise, c’est l’éco-construction, Eco comme écologie, Eco comme économie ! Analyser, anticiper les nouvelles façons de faire. Sur un même terrain, j’ai fait 4 maisons identiques, mais avec 4 matériaux différents.
La maison de 2020, c’est une maison qui ne pollue pas, qui ne rejette pas de CO2, dont mes fils pourraient être fiers. C’est plus qu’un devoir, on n’a pas le choix ! Il faut le faire très rapidement. »