Les secrets du zinc

Sous Napoléon III, à Paris, 34 000 immeubles ont été construits, avec des façades répondant à des codes précis.

Le 1er «l’étage noble»,  les suivants pour la bourgeoisie, et sous les combles les «chambres de bonnes », qu’il fallait rendre habitable.

18:0025/02/2020
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L’idée d’Haussmann : couvrir les immeubles d’un toit à la Mansart, composé d’un brisis (la partie la plus pentue) et d’un terrasson (la partie haute, de faible pente) recouvert de zinc.

Le choix du zinc offrait plusieurs avantages, plus économique que le cuivre, plus léger que l’ardoise, et la tuile, permettant de construire avec des chevrons de faible section afin de gagner du volume sous les combles.

Ces qualités du zinc sont parfaitement adaptées au «terrasson» haussmannien, les techniques de la pose du «zinc à tasseaux», et les métiers de la «zinguerie» ont  fait des progrès remarquables.

Le décor parisien est planté : l’immeuble haussmannien et le zinc sont devenu le symbole des toits de Paris. 

Les secrets d’une matière : découvrez les toits de Paris en vidéo en cliquant ici

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