Ce principe totalement novateur pour le secteur permet de : • redonner confiance aux maîtres d'ouvrage particuliers en leur permettant d'identifier les entreprises compétentes pour réaliser leurs travaux (efficacité énergétique et/ou énergies renouvelables) ; • éviter les contre-références et améliorer la qualité de la mise en œuvre en tenant compte des enjeux énergétiques ; • sécuriser l'investissement public et éviter la création de pseudo-entreprises opportunistes. Afin de permettre la juste et efficace application de ce principe, la Fédération demande une simplification du dispositif à travers : • un audit unique pour l'ensemble des qualifications
RGE y-compris liées aux énergies renouvelables ; • l'ouverture rapide d'un chantier de simplification des qualifications liées aux énergies renouvelables, en particulier à travers la diminution du nombre de références exigées et la simplification du système de qualifications et de formations (validation des acquis de l'expérience qui permettrait d'éviter le caractère obligatoire des formations...). C'est dans ce cadre que la FFB se félicite de l'annonce du report de l'éco-conditionnalité des CEE (certificats d'économie d'énergie) au 1er juillet 2015, qui permettra une montée en puissance plus progressive de l'éco-conditionnalité. Jacques Chanut renchérit « Depuis 2010, la FFB incite vivement les artisans et entrepreneurs à devenir RGE pour répondre aux enjeux de l'éco-conditionnalité. Nous ne pouvons que nous féliciter qu'aujourd'hui, près de 27 000 entreprises aient franchi le cap, avec un rythme actuel de 2 000 qualifiés RGE par mois. La Fédération a été et continue d'être un acteur majeur du dispositif RGE ! ».