Dans un tel contexte, une rupture marquée du niveau de l'investissement locatif privé dans le neuf serait catastrophique. Plus que jamais, il s'avère indispensable, comme la Fédération Française du Bâtiment le demande depuis de longs mois, que le dispositif appelé à remplacer le Scellier à compter du 1er janvier 2013 soit à la hauteur des besoins. Deux questions primordiales restent en suspens celle du zonage et celle du « nichage » (prise en compte ou non dans le plafond à venir de 10.000 euros).
Les décisions prises en ce domaine conditionnent en grande partie l'activité et l'emploi dans le secteur du Bâtiment, ainsi que l'accentuation ou non de la crise du logement.