Dialogue constructif entre les matériaux

La RE 2020 redistribue les cartes entre les matériaux de structure, qui doivent désormais être évalués dans leur globalité, depuis leur empreinte carbone jusqu’à leur capacité à répondre à l’ensemble des réglementations en vigueur. Une problématique nouvelle pour les constructeurs, dont les solutions sont à rechercher dans la mixité des matériaux. L’approche multicritère amène ainsi les entreprises à s’ouvrir à la culture des autres filières.
8:2306/12/2021
Rédigé par FFB Nationale
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Bâtimétiers Numéro 65 | Décembre 2021

La mixité des matériaux n’est pas une pratique nouvelle, mais elle fait l’objet depuis ces dernières années d’un regain d’intérêt, parce qu’elle peut contribuer à relever les défis actuels et ceux auxquels le secteur de la construction va être confronté. « Ce qui est nouveau, c’est qu’on n’oppose plus la construction en béton, en bois ou en métal, comme nous l’avons fait longtemps, constate Vianney Fullhardt, président du groupe de travail Énergie bas carbone d’EGF. Au contraire, on se rend compte que, pour répondre à l’ensemble des contraintes réglementaires, auxquelles la RE 2020 ajoute le calcul de l’empreinte carbone du bâtiment, sans oublier la problématique de la maîtrise des coûts de construction, on a tout intérêt à composer avec les différents matériaux en structure. »

De fait, dans le logement collectif ou dans les ERP, on trouve de plus en plus fréquemment des projets qui associent par exemple un rez-de-chaussée en béton et des étages en charpente bois, ou une structure poteaux-poutres en béton et des façades en ossature bois, ou encore une structure mixte à base de poteaux bois et métal.

 

Jouer sur les points forts de chaque matériau

La stratégie des maîtres d’ouvrage et le travail des bureaux d’études consistent de plus en plus à utiliser chaque matériau pour ses qualités intrinsèques et à le mettre en œuvre à l’endroit du bâtiment où il est le plus légitime, ce qui aide à résoudre une équation de plus en plus complexe pour respecter les exigences techniques et réglementaires.

De son côté, le béton reste le matériau le plus polyvalent. Il a l’avantage de pouvoir répondre à lui tout seul à plusieurs contraintes : réaliser la structure porteuse avec une bonne performance en acoustique, tout en apportant une inertie thermique pour le confort d’été, sans oublier une bonne résistance au feu, le tout pour un coût très compétitif. Mais il n’est pas le mieux placé en termes d’empreinte carbone.

Le bois, au contraire, offre la possibilité en premier lieu de piéger de grandes quantités de carbone pour de nombreuses années, ce qui le rend intéressant pour l’empreinte carbone du bâtiment, surtout quand il est utilisé en matériau de structure. Il est aussi très utile sur le plan thermique, puisque sa conductivité est presque au niveau de celle d’un isolant, ce qui permet de supprimer ou au moins de réduire la majorité des ponts thermiques sans composants supplémentaires. Le bois a aussi un long historique dans la construction qui plaide en sa faveur. En revanche, il manque d’inertie thermique : il faut donc y ajouter d’autres éléments pour obtenir le confort d’été souhaité, et il est souvent nécessaire de l’encoffrer pour gérer l’acoustique et le feu.

En ce qui concerne le métal, son gros point fort est sa résistance mécanique, raison pour laquelle il est utilisé pour réaliser des grandes portées en réduisant le nombre de poteaux, mais ses performances sont limitées sur le plan thermique et il doit être, dans certains cas, additionné d’autres matériaux ou bénéficier d’un traitement spécifique pour obtenir la résistance au feu souhaitée.

On cherche aujourd’hui logiquement à utiliser ces qualités et à les combiner entre elles : par exemple, la plupart des bâtiments en charpente bois sont élevés sur au minimum des fondations et un rez-de-chaussée en béton, ce qui permet notamment de résoudre les problèmes de remontées par capillarité vers les étages supérieurs. Les bâtiments en bois ont souvent un noyau en béton, pour reprendre les contreventements et assurer leur stabilité au vent, ainsi que des planchers mixtes bois-béton, acier-béton (planchers collaborants) ou même intégralement en béton, pour résoudre des problématiques d’acoustique et de tenue au feu. A contrario, les bâtiments mono-matériau semblent aujourd’hui se priver d’une forme d’optimisation issue de la mixité des matériaux.

RE 2020 : associer les matériaux biosourcés et les autres

Applicable dès le 1er janvier 2022 pour les bâtiments d’habitation, la RE 2020 apporte un nouveau paramètre à la mixité des matériaux, en intégrant l’empreinte carbone du bâtiment dès sa conception. D’autre part, le mode de calcul choisi, celui de l’analyse du cycle de vie (ACV) dynamique, favorise les matériaux peu émissifs en carbone au moment de leur production, à savoir les matériaux biosourcés. C’est donc logiquement que les maîtrises d’ouvrage s’orientent, pour la structure des bâtiments, vers le bois. Mais cela ne suffit pas pour emporter la décision. « Attention, le fait d’utiliser des matériaux biosourcés en structure n’est pas une garantie pour obtenir une construction globalement bas carbone, souligne Vianney Fullhardt. Par exemple, un bâtiment intégralement en charpente bois bénéficie du bilan carbone négatif de ce matériau, mais il peut exiger d’autres composants pour être conforme aux autres réglementations, notamment acoustique et de protection incendie. Ces composants supplémentaires alourdissent le coût carbone, alors qu’on pourrait en faire l’économie avec un autre matériau de structure. Une utilisation à 100 % de matériaux biosourcés n’est donc pas la clé de tout. » Attention aussi à l’impact des matériaux biosourcés sur le coût de construction : il peut être judicieux de les remplacer, à certains endroits du bâtiment, par des matériaux moins performants sur le plan environnemental et moins chers, surtout quand ils sont nécessaires en moindre quantité.

De son côté, la filière minérale multiplie les initiatives pour adapter ses produits à la logique de la RE 2020 : on assiste aujourd’hui à un important foisonnement en matière de recherche et d’innovation pour développer des bétons bas carbone, avec des ciments dont le clinker est remplacé par des composants moins émissifs. De même, la filière métallique mise sur le taux très élevé de métal recyclé pour les aciers destinés au bâtiment, de l’ordre de 90 %, et sur un transfert de l’énergie consommée vers l’électrique, pour améliorer son empreinte carbone et réduire le fossé avec les matériaux biosourcés. D’autres technologies innovantes comme l’utilisation d’hydrogène en remplacement du charbon permettront également de réduire drastiquement l’impact carbone des éléments en acier.

Vianney Fullhardt, président du groupe de travail Énergie bas carbone d’EGF.

« Ce qui est nouveau, c’est qu’on n’oppose plus la construction en béton, en bois ou en métal, comme nous l’avons fait longtemps. »

Plancher bois-béton bas carbone : une réponse à la RE 2020

Pour Christophe Possémé, dirigeant du Bâtiment Associé, une entreprise de gros œuvre qui emploie 200 salariés à Muizon près de Reims (Marne), la mixité des matériaux est déjà une réalité depuis longtemps, puisque son entreprise est l’une des rares à maîtriser les deux savoir-faire du gros œuvre en béton et de la charpente bois. « Nous avons toujours raisonné en mixité de matériaux, et quand nous faisons la conception-réalisation d’un bâtiment, nous cherchons toujours à utiliser le bon matériau par rapport à la résistance mécanique, à la thermique, à l’acoustique, à la protection incendie, explique-t-il. Nous construisons rarement un bâtiment en 100 % béton, 100 % bois ou 100 % métal ; 80 % de nos constructions sont mixtes. » L’entrepreneur, par exemple, réalise beaucoup de planchers mixtes bois-béton en mettant en œuvre des solives bois et des caissons de plancher en bois sur lesquels on vient couler une dalle de compression en béton : une mixité qui permet de conjuguer l’inertie, la performance acoustique et la protection incendie avec le béton, et l’empreinte carbone avec le bois.

Aiguillonné par l’arrivée de la RE 2020, Le Bâtiment Associé franchit une étape de plus avec la mise en œuvre de ses premiers planchers bois-béton bas carbone. Ce procédé préfabriqué est à base de prédalles auxquelles le fournisseur a ajouté une couche supérieure à base de laine de bois. Sa mise en œuvre est identique à celle d’un plancher à prédalles classique, avec une étape intermédiaire qui consiste à poser des pains de laine de bois dans les rainures de la prédalle, avant de réaliser le ferraillage et de couler la dalle de compression. « Ce procédé est doublement intéressant en termes d’empreinte carbone, car il amène du carbone négatif grâce à la laine de bois, qui est biosourcée, et utilise du ciment bas carbone, commente Christophe Possémé. C’est un cas exemplaire de solution apportée par la mixité des matériaux. » En termes de mise en œuvre, on reste dans un système de pose traditionnelle, à la portée de toutes les entreprises de maçonnerie – donc sans problème sur le plan de l’assurabilité. Il peut être utilisé aussi bien dans les bâtiments en béton que dans ceux en bois, et intéresse beaucoup les maîtres d’ouvrage à la recherche de performance carbone.

Christophe Possémé, dirigeant du Bâtiment Associé, à Muizon près de Reims (Marne)

« Quand nous faisons la conception-réalisation du bâtiment, nous cherchons toujours à utiliser le bon matériau par rapport à la résistance mécanique, à la thermique, à l’acoustique, à la protection incendie. »

Murs bois et béton de chanvre : une nouvelle filière

La construction est en quête de nouveaux procédés, plus vertueux pour l’environnement, où la mixité des matériaux a toute sa place. En témoigne la création d’une nouvelle unité de fabrication industrielle de murs en bois et béton de chanvre – le procédé Wall’up Préfa – à Aulnoy (Seine-et-Marne), proche du lieu de production de la coopérative agricole Planète chanvre, à l’initiative d’un ensemble de partenaires de la filière bois et chanvre d’Île-de-France, avec l’appui des pouvoirs publics. « Nous faisions déjà de la construction en murs à ossature bois avec un remplissage en béton de chanvre, mais ce dernier se faisait par projection sur le chantier, avec un temps de préparation et un temps de séchage assez longs, en étant soumis aux aléas climatiques », explique Julien Meha, dirigeant de l’entreprise de charpente bois éponyme implantée à Valenton (Val-de-Marne), partenaire de l’opération. « Avec Wall’up Préfa, se félicite-t-il, nous proposons désormais un produit fabriqué en usine réduisant les déchets de chantier, dont la qualité est parfaitement contrôlée, le temps de production maîtrisé et en quantité industrielle. » L’intérêt majeur de ce mode constructif est son aspect biosourcé, qui améliore l’empreinte carbone du bâtiment, mais pas seulement : le béton de chanvre est intéressant sur le plan thermique, avec une épaisseur suffisante de 30 cm, et peut-être surtout pour la protection incendie, grâce à un « PV feu » de 2 h 40, ce qui le rend beaucoup plus performant que les autres matériaux biosourcés, et donc d’autant plus attractif pour les bâtiments à plusieurs étages. D’autre part, il s’agit d’un matériau perspirant, qui laisse passer la vapeur d’eau, permettant de réguler l’hygrométrie du bâtiment, et qui apporte de la masse, un facteur d’inertie appréciable pour obtenir le confort d’été requis par la RE 2020.

Pour achever de convaincre les acteurs du marché, le procédé Wall’up Préfa fait actuellement l’objet d’essais afin de caractériser ses performances acoustiques, thermiques, et au regard de la réglementation sismique. « Grâce à l’élaboration des Règles professionnelles de mise en œuvre en 2012, révisées trois fois depuis cette date, le mur à ossature bois et béton de chanvre a fait son entrée dans la traditionalité et bénéficie d’un important retour d’expérience », ajoute le charpentier bois. Des acteurs importants de la promotion immobilière envisagent de le mettre en œuvre à grande échelle pour construire tout un éco-quartier, ce qui sera possible grâce à la nouvelle unité de production, prévue pour fabriquer jusqu’à 50 000 m2 par an.

Julien Meha, dirigeant de l’entreprise de charpente bois éponyme, à Valenton (Val-de-Marne)

« Grâce à l’élaboration des Règles professionnelles de mise en œuvre en 2012, révisées trois fois depuis cette date, le mur à ossature bois et béton de chanvre a fait son entrée dans la traditionalité et bénéficie d’un important retour d’expérience. »

Une nécessaire concertation entre les entreprises

La mixité des matériaux semble dessiner une autre façon de construire, qui demande une nouvelle collaboration entre les entreprises. « On voit aujourd’hui beaucoup de bâtiments qui sont construits avec plusieurs matériaux, mais le problème est que les entreprises continuent à travailler en lots séparés », avance Christophe Bonhomme, dirigeant de l’entreprise de construction métallique éponyme qui emploie une centaine de salariés à Montélier (Drôme). « Plutôt que le maçon, le charpentier et le métallier travaillent chacun de son côté, poursuit-il, il serait beaucoup plus logique de créer un macrolot, et que tous les acteurs échangent en amont pour concevoir et construire le bâtiment le plus performant, notamment vis-à-vis de la RE 2020. » Tout en regrettant le choix de l’ACV dynamique pour le calcul de l’empreinte carbone, qui favorise des matériaux biosourcés, le constructeur métallique explique que la question n’est plus de vendre un bâtiment intégralement en métal, mais de répondre au besoin du maître d’ouvrage, en utilisant les matériaux à bon escient.

Pour illustrer son propos, Christophe Bonhomme prend l’exemple d’un gymnase construit en macrolot, où les qualités propres à chaque matériau sont exploitées. La couverture est réalisée en poutres treillis métalliques de grande portée, ce qui permet de reprendre les charges de la toiture en utilisant de fines épaisseurs, sans alourdir la structure grâce au rapport poids-résistance mécanique du métal. Le reste de la charpente est réalisé en bois, afin de réduire l’impact carbone du bâtiment et d’améliorer ses performances acoustiques. En troisième lieu, les voiles à base de prémurs en béton apportent à la construction une stabilité verticale, assurant le contreventement de l’ensemble, tout en apportant une protection incendie et de l’inertie pour le confort d’été. « Rechercher une performance bas carbone exige que les entreprises travaillent ensemble le plus tôt possible, en s’accordant notamment sur les tolérances, qui ne sont pas les mêmes selon les matériaux, et en anticipant toutes les interfaces, ce qui est indispensable pour une bonne qualité du bâti », résume l’entrepreneur. Cette exigence supplémentaire de précision devrait aussi favoriser l’essor de la préfabrication, notamment pour les ouvrages en béton.

Vers une nouvelle intelligence de la construction

Pour répondre aux nouveaux enjeux, chaque filière travaille actuellement sur ses points faibles. Favorisé par la prise en compte de l’empreinte carbone du bâtiment, mais longtemps limité par des lacunes sur la caractérisation de ses performances, le bois a mis les bouchées doubles et réalisé de nombreux essais, notamment sur la protection incendie, et révisé de nombreuses normes de mise en œuvre, qui lui ouvrent désormais de nouveaux horizons, notamment dans les bâtiments de grande hauteur. Le béton et le métal, pénalisés par les mêmes dispositions réglementaires, multiplient les initiatives en recherche et développement pour réduire l’écart de performance carbone avec le bois. La solution semble résider dans une nouvelle intelligence de la construction, qui permet de résoudre l’équation du bas carbone tout en respectant toutes les autres réglementations. « La mixité des matériaux est une voie très intéressante à explorer, conclut Vianney Fullhardt, mais elle exige du côté des entreprises des compétences en termes de bureau d’études, pour bien maîtriser la question des interfaces et des tolérances entre les matériaux, et des CCTP plus rigoureux de la part de la maîtrise d’œuvre. De fait, les entreprises de construction auront intérêt à sortir de leur pré carré et à s’intéresser aux autres matériaux et filières, pour pouvoir dialoguer efficacement entre elles. »

La mixité des matériaux semble donc une approche essentielle pour progresser vers une construction de plus en plus écoresponsable, dont l’efficience sera optimisée par le développement de la préfabrication et le recours aux outils du BIM et aux logiciels d’évaluation de l’empreinte carbone pendant toute la durée du projet.

Christophe Bonhomme, dirigeant de l’entreprise de construction métallique éponyme, à Montélier (Drôme)

« Rechercher une performance bas carbone exige que les entreprises travaillent ensemble le plus tôt possible. »

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Des solutions gagnantes pour répondre aux exigences réglementaires

Les ouvrages qui font appel à la mixité des matériaux, en exploitant les qualités propres à chacun d’eux, sont un moyen pertinent de répondre aux exigences croissantes des différentes réglementations, comme le montrent les exemples présentés ici.

 

Plancher mixte bois-béton : la performance thermique alliée au bas carbone

 

Les planchers mixtes bois-béton se composent de solives en bois équipées de connecteurs métalliques, sur lesquelles reposent un fond de coffrage et éventuellement un platelage, permettant de couler en place une dalle en béton qui emprisonne les connecteurs. Ce type de plancher est performant sur le plan mécanique, mais aussi contre la propagation de l’incendie d’un étage à l’autre. Il apporte également une isolation phonique et une inertie thermique favorable au confort d’été, tandis que le bois améliore l’impact carbone de l’ouvrage.

  1. Dalle béton coulée en œuvre
  2. Ferraillage de la dalle
  3. Connecteurs
  4. Fond de coffrage
  5. Solives

 

Ossature bois et béton de chanvre : un exemple de procédé biosourcé

 

Obtenu par projection du béton de chanvre dans une ossature bois, ce procédé constructif permet d’associer deux matériaux biosourcés qui sont performants au regard de la RE 2020.
Le béton de chanvre est également intéressant sur le plan thermique et pour la protection incendie, puisque des essais réalisés par le fabricant montrent qu’il obtient un PV feu de 2h40. Cet exemple de mixité des matériaux permet d’obtenir de la masse, un facteur d’inertie appréciable pour un bon confort d’été, et de réguler l’hygrométrie du bâtiment, puisque le béton de chanvre est un matériau perspirant.

  1. Plaque de plâtre en fibre armée 15 mm (prêt à peindre)
  2. Montant ossature bois 45 mm x 145 mm
  3. Isolation béton de chanvre 300 mm (R = 3,9 m2.K/W)
  4. Enduit chaux 25 mm (sur/hors site)

 

Balcon métallique rapporté en porte-à-faux : un atout contre les ponts thermiques

 

Destinés à être supportés par des planchers béton ou une charpente métallique, les balcons métalliques rapportés sont désolidarisés du bâtiment, ce qui les rend aptes à réduire les ponts thermiques, en utilisant au besoin des rupteurs de ponts thermiques au niveau des fixations. Ils permettent aussi de répondre aux exigences de la réglementation accessibilité, puisqu’ils peuvent être ajustés en hauteur sans difficulté. 

  1. Ossature métallique
  2. Garde-corps
  3. Platelage
  4. Plancher support en béton
  5. Rupteur de pont thermique

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