Sols souples : un hôpital pour enfants haut en couleur !


Améliorer par la couleur l’accueil et la prise en charge des enfants malades
Une coactivité orchestrée pour tenir les délais
Pour tenir dans les délais serrés du chantier, la coactivité avec les autres corps d’état était nécessaire et a été savamment orchestrée. « Normalement, la mise en place du revêtement de sol est l’une des dernières actions réalisées sur un chantier, avant la livraison finale. Mais en pratique, les délais comprimés font que nous démarrons souvent notre activité alors que les autres corps d’état sont toujours présents, précise Denys Schmoll. Nous étions soumis à un planning hyperprécis, et l’avancement des tâches de chaque entreprise était décrit lors des réunions hebdomadaires de chantier. »
Nous avons créé davantage de chutes que lorsque le calepinage est rectiligne. Il était donc d’autant plus important que le calepinage soit réalisé de manière très rigoureuse.
Des contraintes estivales mais des conditions sanitaires assouplies
Signe que l’entreprise a rempli son contrat à la pleine satisfaction du maître d’ouvrage, Eliez a été retenue pour le chantier de la deuxième période, sur les trois mêmes lots : peinture, revêtements de sol et faux plafonds. Il s’agissait cette fois d’intervenir sur le rez-de-chaussée et le premier étage du même bâtiment. « De juillet à octobre 2020, nous devions rénover 1 600 m² au total. » La complexité des motifs et du calepinage était moins importante que lors de la première phase : « Au RDC, où se trouvent l’accueil et des services de soins, nous devions mettre en place des revêtements de deux couleurs – jaune et rouge – selon un calepinage plus simple, chacune des pièces et les couloirs étant monochromatiques. » À l’étage, dédié à l’activité administrative des services, il s’agissait de poser un revêtement de sol monochromatique de couleur parquet. Le défi de ce second chantier résidait plutôt dans un phasage particulier. « Le chantier se déroulait en plein été. Il n’a pas été évident, surtout durant le mois d’août, d’arriver à tenir la cadence : nous devions respecter notre propre planning tout en nous adaptant aux contraintes estivales, comme la fermeture annuelle de certains fournisseurs ou la prise de nombreux congés dans des entreprises co-intervenantes », relate Denys Schmoll. Par chance, cette seconde phase a été assez peu impactée par la crise sanitaire liée au Covid-19. « L’été 2020 était plutôt favorable car le pays était déconfiné, et les seules contraintes que nous avions étaient de porter le masque et de respecter les gestes barrières. » Au final, le chantier s’est déroulé sans anicroche, et le service a pu rouvrir dans les temps.