Le logement neuf est le principal vecteur de cette croissance : 410 000 mises en chantier.
L'entretien-amélioration sort de l'ornière avec une croissance de 1,4 %, hors effet prix. Rappelons que ce segment représente près de 60 % de l'activité du bâtiment.
L'activité globale a progressé de 4,7 %. Il faut remonter à 2006 pour trouver un taux de croissance aussi élevé. Mais tous les territoiresn'affichent pas la même vigueur.
L'emploi présente un solde net de 20 000 postes créés (dont 11 000 intérimaires en équivalent temps plein). Le bâtiment avait cependant perdu 170 000 postes entre 2008 et 2016.
La santé des entreprises s'avère un peu moins mauvaise. Les trésoreries semblent un peu moins dégradées en fin d'année. Cependant, les prix restant bas, la trésorerie et les marges peinentà se redresser.