Union des Métiers Génie Climatique Couverture et Plomberie UMGCCP
Union des Métiers Génie Climatique Couverture et Plomberie UMGCCP : qui sommes-nous ?
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Découvrez notre union
L’UMGCCP (Union des Métiers du Génie Climatique, de la Couverture et de la Plomberie) est issue de la fusion entre l’UECF (Union des Entreprises de Génie Climatique et Energétique de France) et l’UNCP (Union Nationale des Chambres Syndicales de Couverture et de Plomberie de France).
Elle regroupe 15 000 entreprises adhérentes à la FFB dont 75 % ont moins de 10 salariés.
L’UMGCCP représente :- 80 % du chiffre d’affaires du secteur
- 163 000 emplois
- 9 métiers : chauffage, climatisation, couverture, plomberie, maintenance, fumisterie, ramonage, ventilation, assainissement non collectif
- 8 filières énergétiques : gaz et gaz vert, pompe à chaleur, bois, solaire photovoltaïque, solaire thermique, fioul et bio fioul, géothermie, hydrogène
Téléchargez la plaquette de l'UMGCCP
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Comment sommes-nous organisés ?
L’UMGCCP est administrée par :
- Un Président et un Premier Vice-Président ;
- Un Bureau composé de 18 membres, issus des délégations de nos métiers régionales et départementales ;
- Un Conseil d’Administration regroupant 200 administrateurs : membres du Bureau, délégués régionaux et délégués des groupements adhérents départementaux de nos métiers (section professionnelle ou chambre syndicale départementale, syndicat professionnel ou interprofessionnel départemental) .
Par ailleurs, une équipe de collaborateurs assiste le Président de l’Union dans ses fonctions et est au service des entreprises adhérentes.
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Au service des couvreurs, plombiers et professionnels du génie climatique
L’UMGCCP contribue au développement et à la promotion de ses métiers.
Elle défend et représente la profession dans les instances au sein de la filière et intervient en appui des entreprises et du réseau FFB.
Elle participe à la rédaction des normes et agit dans les domaines de la qualité, de la prévention et de la formation.Elle assure une veille technologique et agit au niveau de :
- La réglementation technique
- La recherche professionnelle
- La sécurité et la prévention
- La qualification et la certification
- Le perfectionnement technique
L’UMGCCP est impliquée dans la rédaction des 41 normes DTU de ses métiers, soit 36 % des DTU du secteur du bâtiment.
Chaque année, 4 500 questions techniques sont traitées et une centaine de réunions techniques sont organisées dans les territoires. -
L’UMGCCP et les filières professionnelles
62 mandataires issus de la profession représentent l’UMGCCP dans 79 organisations et associations filières :
- Pour la réussite de la transition énergétique basée sur la complémentarité des énergies
- Pour la mise en œuvre de la transition énergétique en favorisant la filière chauffage à eau chaude
- Pour l’amélioration continue de la qualité des installations intérieures de gaz
- Pour développer la qualité d’installation dans le domaine des énergies renouvelables
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Nos commissions thématiques
L’UMGCCP est organisée en commissions et groupes de travail :
- Génie Climatique
- Couverture
- Plomberie
- Maintenance
- Formation
- Ramonage Fumisterie
- Prévention
- Transition énergétique
- Gaz Fioul
Notre expertise métier
Découvrez nos guides
L'application mobile UMGCCP : un outil d'information à portée de main
Cette application dédiée aux professionnels du génie climatique, de la couverture et de la plomberie adhérents à la FFB, a pour objectif de mettre à leur disposition une information technique régulièrement mise à jour: règles de l’art, outils pratiques tels que calepins de chantier, contrats types, guides thématiques etc. ainsi que des informations concernant la prévention, la sécurité, la qualification professionnelle. L’Appli UMGCCP est disponible sur smartphone et tablette et téléchargeable sur l’Apple Store ou Google Play.
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L'édito du président
Méfions-nous des solutions simples à des problèmes complexes

Pascal HOUSSET
Président de l'UMGCCP
En matière de lutte contre le réchauffement climatique, les solutions miracles s’avèrent souvent des impasses. Si la simplicité a ses mérites, il est parfois nécessaire de reconnaître que certains problèmes nécessitent des approches plus nuancées, adaptées au contexte et à la complexité des défis à relever.
Dernier exemple en date, les projets d’interdiction de vente des chaudières gaz à l’horizon 2026. S’attaquer au gaz, deuxième mode de chauffage le plus émetteur de CO2 après le fioul, semble en apparence aller dans le bon sens. Ce serait, selon les pouvoirs publics, le meilleur moyen de décarboner les bâtiments. Or, avec plus de douze millions de ménages qui utilisent encore une chaudière gaz aujourd’hui pour se chauffer, cette mesure se heurte à des impossibilités techniques et matérielles pour un grand nombre de logements collectifs et dans certaines catégories de logements individuels.
La pompe à chaleur est une des alternatives performantes mais ne peut pas être présentée comme la solution universelle à la décarbonation. Il ne faut pas non plus ignorer les conséquences d’une généralisation massive des PAC sur le réseau électrique qui émet lui aussi du CO2, notamment au moment des pointes de consommation qui sont couvertes par des moyens carbonés (centrales thermiques au gaz ou au charbon).
Par ailleurs, la future réglementation européenne F-Gaz va limiter fortement l’utilisation de nombreux fluides frigorigènes pourtant nécessaires au fonctionnement des systèmes thermodynamiques. Bref, la solution unique s’avère soudain hasardeuse, alors que la réussite de la transition énergétique nécessite une pluralité de solutions reposant sur un mix énergétique équilibré, en utilisant tous les leviers disponibles pour la rénovation : l’isolation des bâtiments, le remplacement des anciens équipements de chauffage par des équipements performants, la maintenance ou encore le verdissement des énergies.
Nous devons sans cesse déconstruire les « fausses bonnes idées » qui séduisent trop souvent l’imaginaire collectif et les décideurs. On a ainsi assisté cet été à une multiplication de reportages ou communications pour « peindre les toits en blanc », solution présentée comme miraculeuse dans un contexte d’épisodes caniculaires. Or, concernant en réalité certains types de bâtiments tertiaires climatisés et très mal isolés, ces techniques ne peuvent prétendre à traiter l’inconfort d’été de la majorité du parc de bâtiments existants.
Les questions environnementales et les enjeux énergétiques sont complexes. En se concentrant sur un seul aspect d’un problème, on risque de trouver des remèdes pires que le mal.
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